12 juin 2025

Le colloque

Dans le cadre du 50e congrès national de spéléologie, le comité départemental de spéléologie de Dordogne programme un colloque qui se déroulera au Musée National de Préhistoire (MNP) et du Pôle d’Interprétation de la Préhistoire (PIP), les 7 et 8 juin 2025. Thème : L’Odyssée économique du karst, de la préhistoire à nos jours.

Le karst, cet espace naturel fréquenté depuis la préhistoire jusqu’à nos jours, reste une ressource importante en matière d’économie naturelle, culturelle, industrielle, scientifique, sportive ou de loisirs. Les organisateurs proposeront donc un colloque et également des visite de cavités classiques ou touristiques, des visites de lieux insolites et inédits (atelier de fac-similé).
Les communications proposeront des thématiques autour de ces savoir-faire et de ces différents métiers issus du patrimoine souterrain. Des exploitants de cavités touristiques aux exploitants industriels du karst, des archéologues, géologues, karstologues écologues, topographes, photographes, et spéléologues proposeront des communications sur leurs métiers et savoir-faire à l’aide de leurs outils techniques, numériques, etc.

A ne pas manquer la diffusion de 3 films :

  • De l’exploration spéléologique à la découverte de la grotte Chauvet – Un film-témoignage de Eliette Brunel – 32 min. – Avril 2024
    Samedi 14h00 au PIP et dimanche 9h30 au MNP.

Spéléologues passionnés, Éliette Brunel, Jean-Marie Chauvet et Christian Hillaire, sensibilisés à l’archéologie et à la préservation de ce milieu souterrain si fragile, partagent depuis les années 70 leurs découvertes avec leurs amis et les scientifiques.
Le dimanche 18 décembre 1994, le trio revisitait une fois encore une petite cavité dans les falaises du Cirque d’Estre situées en Ardèche, sur la commune de Vallon-Pont-d’Arc.
Dans le film, Éliette convie les spectateurs à vivre l’incroyable découverte de ce fabuleux sanctuaire paléolithique en leur proposant de suivre leur progression dans la grotte ornée lors de leurs premières explorations.
Les images et les séquences vidéo « historiques » révèlent l’immensité des salles et les passages empruntés par les trois inventeurs.
La révélation de ce remarquable trésor archéologique allait bouleverser leur vie.
Ce film dont le scénario élaboré par Eliette avec les images de Jean-Marie et monté en collaboration avec deux amis spéléologues Daniel Chailloux et Véronique Massa Moureu vous fait partager toutes ces merveilles.
Toujours motivés, ils poursuivent encore aujourd’hui leurs campagnes de recherches dans le monde souterrain. En 2001, ils découvrent une nouvelle technique de représentation pariétale qu’ils baptiseront « l’art en creux ».

  • Sakonerak, à la découverte de la spéléologie – Un film de Brice Maestracci – 50 min. Dimanche 11h15 salle 2 du PIP.

Au Pays Basque, la rencontre fortuite entre une jeune randonneuse curieuse et un spéléologue aux cheveux blancs. Avec l’aide de son club, il propose alors de lui faire découvrir plusieurs facettes du milieu souterrain. Pour en faire une future exploratrice ? C’est l’histoire de nos débuts, y parviendra-t-il ?

  • Le dernier passage – Réalisateur : Pascal Magontier, Direction scientifique : Jean-Michel Geneste, Production : Rup’Art Productions – 28 min. Samedi 11h15 et 16h30 à l’auditorium du PIP.

La grotte Chauvet-Pont d’Arc est un haut-lieu de l’histoire de notre humanité. Elle se révèle, au fil des secrets qu’elle livre peu à peu, un exceptionnel réservoir de données sur les mentalités, les croyances et la pensée créatrice humaines il y a 40 000 ans. Dans la continuité d’un unique plan séquence le film invite le spectateur à effectuer à l’intérieur de la grotte un parcours ininterrompu qui pourrait être le sien en déambulant lui-même dans ce site qui est aujourd’hui inaccessible au public. Sous nos yeux, dans un décor à lui seul exceptionnel, la lumière des torches fait surgir les parois ornées de l’obscurité. La multitude des images animales et humaines mises en scène il y a 36 000 ans reprend alors vie. Lions, mammouths, rhinocéros, ours et figures énigmatiques s’animent sur des parois d’une somptueuse beauté minérale.
Le dernier passage offre une immersion cinématographique inédite, en relief et de très haute définition. Le film se vit comme une expérience fondamentalement individuelle hors du temps permettant à chacun de découvrir et ressentir comment, il y a des millénaires, le ventre de la terre fut un lieu privilégié d’inspiration et de création.

  • Samedi 7 juin : 

La grotte des Furtins (Berzé-la-Ville, sud-Bourgogne) a été fréquentée par des groupes humains préhistoriques. Les premiers y ont laissé quelques outils en silex caractéristiques du Paléolithique moyen, ainsi que des fragments de chaille qui semblent avoir été utilisés de manière opportuniste. Il s’agissait probablement de Néandertaliens. Des ours des cavernes profitaient aussi de la cavité pour hiverner. Plus tard, des Homo sapiens s’y installent avec leurs outils magdaléniens en silex, en os et en ivoire. Au cours de l’Antiquité la cavité est divisée en deux parties par la construction d’un mur monumental, dont on ignore la fonction. Durant le Haut Moyen-Âge elle est utilisée comme bergerie jusqu’à ce qu’une partie de sa voute s’effondre. Toutefois elle enregistre encore une présence humaine au cours du 16e siècle. Était-elle alors utilisée comme refuge ? 
Vers 1860-70, H. de Ferry (un des précurseurs de la Préhistoire) l’achète. En 1938-1939, la spéléologie se démocratise. Les membres de la section du Club Alpin de Mâcon y pratiquent cette nouvelle activité. De 1945 à 1948 A. Leroi-Gourhan y établit son école de fouille, avec des travaux d’envergure, pluridisciplinaires, qui mettent en place les fondements de l’équipe scientifique qui l’accompagnera pendant plusieurs décennies. Dans cette cavité, il est un des tout premiers en France à coordonner les éléments des sols d’occupations dans les trois directions de l’espace. 
En 2018 une approche scientifique multidisciplinaire de la cavité débute (ré-étude des collections, étude des archives, topographie, géophysique, biospéléologie, datations…). Les membres de l’équipe qui se constitue utilisent la grotte comme un laboratoire pour faire avancer les connaissances sur la cavité mais aussi tester de nouvelles techniques afin de mieux appréhender les évolutions du milieu souterrain dans le temps.  En 2024, la grotte des Furtins fait l’objet d’un arrêté de zone de protection de biotope.

La spéléologie et l’archéologie partagent un intérêt commun pour le monde souterrain. Nombreuses en France sont les grottes, notamment préhistoriques, parmi les sites archéologiques les plus renommés, et plusieurs découvertes de ce type ont été réalisées par des spéléologues. Les cavités naturelles, en effet, présentent la particularité d’offrir des conditions remarquables pour la conservation de vestiges sur de longues périodes. C’est pourquoi le ministère de la Culture et la Fédération Française de Spéléologie ont signé en 2018 une convention pour développer leurs relations et mettre en commun leur savoir-faire. Ce partenariat a conduit à la création d’un groupe de travail et à la mise en place de formations destinées aux archéologues et aux spéléologues. Ces actions visent à mieux comprendre et partager les bonnes pratiques et les attentes respectives des deux disciplines, notamment en cas de nouvelles découvertes. Elles se donnent pour objectif de construire une relation d’apport mutuel, dans l’intérêt de l’étude, de la connaissance et de la préservation des sites. X. Margarit, S. Konik, O. Fuentes, P. Galant, N. Cahoreau, N. Coye, P. Barbuti, P. Ahouangbo, K. Dufay.

9h45-10h20 (au PIP) Intérêt d’une collaboration entre un syndicat de rivières, le Syndicat de Rivières du Bassin de la Dronne et le CDS 24 pour améliorer la gestion des masses d’eau dans le nord-ouest Dordogne par K. Alaoui. (Syndicat de rivières du Bassin de la Dronne)

10h30-11h05 (au PIP) Le CO2 (gaz carbonique) l’effet sur le spéléologue et son milieu par E. Van Den Broeck.

15h00-15h35 (au PIP) Exploitation de la ressource en eau karstique pour l’alimentation en eau potable en Dordogne par Guillaume Lorette (SMDE).

La Dordogne possède un patrimoine hydrogéologique exceptionnel avec la présence de nombreux aquifères tels que des aquifères de socles, poreux mais également karstiques. Ces derniers dont présents aussi bien en surface qu’en souterrain. 
De nombreuses utilisations des environnements karstiques peuvent être réalisé par différentes usagers. Ces différents usages font vivre tout un territoire à travers des activités touristiques, de sport de nature en souterrain mais également d’utilisation de la ressource en eau.
Pour l’alimentation en eau potable des habitants, les structures d’eau potable exploitent la ressource en eau karstique à hauteur d’environ 80 % des prélèvements d’eau sur le départements. Ainsi cette ressource stratégique à l’échelle départementale nécessite une surveillance et une gestion particulière, en accord avec les difficultés d’exploitation de ces environnements. 
Le Syndicat Mixte des Eaux de la Dordogne (SMDE24) assure, pour le compte de ses adhérents, la protection et la gestion des captages d’eau potable. C’est 237 captages qui sont gérés et protégés par le SMDE24, dont 205 en environnement karstique.   
Pour garantir cette protection, le SMDE24 mène différentes actions transversales telles que des études scientifiques et hydrogéologiques, des travaux de protection, mais également des actions de prospectives et de sensibilisation. 

15h45 (au PIP) Grottes fortifiées et châteaux des comtes de Foix en Haute Ariège – XIe siècle – début XIIIe siècle par Florence Guillot (médiéviste, associée CNRS UMR 5608, TRACES-TERRAE).

Le comté de Foix est une entité politique médiévale qui correspond grossièrement à la vallée de l’Ariège et à ses affluents, à laquelle s’ajoutent — suivant les époques — des territoires de piémont à l’est et à l’ouest. Il s’agit donc d’une tranche du versant nord des Pyrénées centrales. Le tiers sud de ce territoire est une région de haute montagne où les vallées sont étroites et encadrées de hautes falaises, très souvent tranchées dans des terrains calcaires. Les études du fait castral y ont mis en évidence un glacis surdimensionné de fortifications comtales qui se met en place au cours du XIe siècle et atteint son maximum à la fin du XIIe siècle et au début du XIIIe siècle. La majorité des ouvrages défensifs se révèlent être des monuments isolés du monde civil, quelques grands castra érigés sur des sommets altiers et des dizaines de grottes fortifiées perchées dans les falaises dominant les voies de communication. A la veille de la croisade contre les Albigeois, leur densité est surprenante. Ces sites de hauteur sont de petits aménagements de grands reliefs naturels.


15h45-17h (au MNP) Quand, où, comment, qui et pourquoi si loin sous terre ? Ou l’appropriation préhistorique du milieu souterrain par Jacques Jaubert (Professeur de Préhistoire, Université de Bordeaux, PACEA UMR 5199 CNRS-UB-MC).

La thématique dite de la ‘paléospéléologie’, néologisme proposé par le regretté François Rouzaud dès la fin des années 1970 a permis de formaliser un nouveau champ disciplinaire qui a connu un regain d’intérêt avec les travaux toujours en cours à la grotte de Bruniquel. Donc l’arrivée de Néandertal comme acteur d’une fréquentation du milieu souterrain. Auparavant, le curseur était en effet bloqué à la fréquentation des grottes dites ‘ornées’ du Paléolithique récent.
Après quelques rappels terminologiques et une allusion à l’historique des travaux, nous évoquerons les méthodes d’étude actuellement déployées pour mener de telles études.
Nous proposerons ensuite une revue documentaire des incursions humaines en grottes éloignées de la lumière du jour. Ceci pour la longue période dite du Paléo-Mésolithique, donc depuis les Néandertaliens anciens (175 000 ans) jusqu’à la fin des chasseurs-cueilleurs d’Europe et les Mésolithiques (7 000 ans avant le présent). Outre les Néandertaliens, on y croisera les Aurignaciens de Chauvet, les Gravettiens de Cussac, les Magdaléniens du domaine pyrénéo-cantabrique sans oublier les Mésolithiques de Saint-Marcel. Cette chronique n’éludera pas les périodes inégalement documentées à l’exemple du Solutréen.
Nous conclurons en tirant les fils des interprétations de cette fréquentation hypogé qui échappe au quotidien alimentaire ou technique de ces groupes de chasseurs-cueilleurs puisqu’il s’agit de témoignages sociaux, sépulcraux, spirituels voire mythologiques.

  • Dimanche 8 juin : 

10h30-11h05 (au PIP) Le syndicat des BE par Guillaume Le Guen (SNPSC).

10h30-11h00 (au MNP) Variations climatiques passées et récentes dans la grotte de Villars, Dordogne par Dominique Genty (EPOC, Université de Bordeaux).

Les spéléothèmes (stalagmites et planchers stalagmitiques essentiellement utilisés) enregistrent les variations du climat avec une grande précision. Plusieurs stalagmites issues de la grotte de Villars, trouvées brisées naturellement dans le réseau sauvage de la cavité, révèlent l’existence d’événements climatiques passés de grande amplitude au cours des derniers 130000 ans. L’image des variations climatiques retrouvées à Villars est conforme à celle issue des carottes marines et de carottes glaciaires, avec cependant des différences liées au climat local. Equipée depuis plus de trente années avec des capteurs environnementaux (température, CO2, pression atmosphérique, débits sous stalactites) la grotte de Villars révèle des tendances climatiques modernes liées au réchauffement climatique global.

11h15-12h00 (au MNP) Les phosphatières du Quercy, une odyssée industrielle, scientifique et touristique par Thierry Pélissié (Les spéléos du Causse de Limogne-en-Quercy et Association « Les phosphatières du Quercy”).

Au sud des Causses du Quercy, les phosphatières constituent un ensemble karstique particulier. Anciennes grottes tropicales comblées de phosphate entre 50 et 20 millions d’années avant notre ère, elles ont fait l’objet d’une exploitation intense au XIXème siècle. Dans le contexte d’une ruée européenne vers ce précieux engrais, une partie du phosphate provenait d’ossements fossiles irrémédiablement broyés. Fort heureusement l’âge d’or industriel fut très bref et les gisements paléontologiques partiellement épargnés. Des millions de fossiles, très diversifiés, parfaitement conservés, parfois même à l’état de momies naturelles, s’y succèdent sur 30 millions d’années. Un ensemble unique au monde, à la base de la labellisation Géoparc mondial UNESCO des Causses du Quercy, qui livre encore chaque année gisements et fossiles inédits. Les scientifiques y décryptent les interactions complexes entre biodiversité, changement climatique et espèces invasives. En sus de leur immense intérêt patrimonial, ces cavités forment aujourd’hui un monde étrange, oasis de fraîcheur à la lisière entre lumière et monde souterrain. On peut les découvrir aux phosphatières du Cloup d’Aural à Bach (Lot).

14h15-15h30 (au MNP) La grotte de Rouffignac par Morgane Dachary.

14h15-14h50 (au PIP) Aménagement d’un site karstique remarquable : Rock ViewPoint, Laos par Jean-Michel Ostermann.

Le site karstique de Phou Pha Marn, à l’ouest de la province du Khammouane au Laos, présente un aspect esthétique exceptionnel, ce qui a conduit à son aménagement pour le tourisme. Il constitue désormais un des points phare de la région de Thakhek et du pays en matière de tourisme notamment sportif.
Situé dans une des zones de conservation de la biodiversité du Laos (National Biodiversity Conservation Areas), l’aménagement s’est fait dans le respect de l’environnement.
Etabli sur un point haut du karst, surplombant une large zone de pinacles, l’intérêt esthétique est évident.
Un site hôtelier intégré au paysage, plusieurs points de restauration, et l’aménagement de nombreux parcours sportifs (sentiers karstiques didactiques, nombreuses tyroliennes, via ferrata, traversée spéléologique sportive et descente dans un gouffre géant) sont complétés par des zones d’observation de la faune locale.
Le site a permis de créer un point d’attrait touristique majeur et participe au développement économique de la région.

15h00-15h35 (au PIP) La grotte de la Verna, un outil de promotion de la spéléologie auprès du grand public par Yves Bramoullé (CDSC 64).

La salle de la Verna a des dimensions exceptionnelles : 240 m de diamètre et 194 m de hauteur. Une autre particularité du site est la présence d’un captage de la rivière souterraine qui alimente une centrale de production d’électricité située dans la vallée.
Grâce à une collaboration exemplaire entre les propriétaires du site, l’exploitant de la centrale et le CDSC 64, la salle de la Verna a été ouverte au public en 2010. Son exploitation est assurée depuis lors par la SAS La Verna PSM, filiale du CDSC 64. C’est la seule grotte touristique de France gérée par une structure de la FFS.
Ici, pas de concrétions, pas de vestiges archéologiques, mais un site géologique exceptionnel et un lieu emblématique de l’exploration spéléologique. Ce sont ces deux thèmes qui sont développés auprès du public, qui va des personnes à mobilité réduite jusqu’aux sportifs qui peuvent découvrir la spéléologie grâce à des visites hors parcours aménagé.
Un livre est proposé aux visiteurs qui souhaitent en savoir davantage sur l’histoire des explorations spéléologiques à la Pierre Saint-Martin et l’histoire géologique du site. Le livre présente également la FFS et la spéléologie en général, activité souvent méconnue du grand public.

15h45-16h30 (au MNP) Pister les Préhistoriques dans la grotte d’Aldène… par Philippe Galant  (Ministère de la Culture, DRAC Occitanie, service de l’archéologie).

Située sur le versant méridional de la Montagne Noire, avec ses 13 km de galeries, la grotte d’Aldène constitue le plus grand réseau spéléologique du Minervois. L’histoire de cette caverne est riche d’un passé multimillénaire. 
Depuis les faunes du Pléistocène, jusqu’aux longs parcours souterrains des groupes préhistoriques, la grotte est ponctuée de nombreux vestiges, aussi rares qu’extraordinaires. Parmi ceux-là, les impacts de torches associés aux empreintes de pas humains d’il y a 8.000 ans constituent des traces exceptionnelles qui racontent une histoire que les archéologues essaient de déchiffrer à grand renfort de technologies modernes. 
Mais une autre aventure est survenue : et si des populations contemporaines arrivaient aussi à faire parler ces traces avec une autre approche plus sensorielle ? La confrontation directe sur le site, entre chercheurs européens et pisteurs namibiens, raconte une nouvelle histoire spéléologique, constituant une nouvelle aventure humaine qui vient se rajouter à la longue histoire de l’Aldène …

Les candidatures sont closes.
Merci d’envoyer un résumé de 200 mots maximum qui sera intégré dans la programmation du colloque et sur le site du congrès.

Durée : 30 min en présentiel avec support Power-point à envoyer sous format .pdf avant le 1er juin 2025 à l’adresse ci-dessus.
Lieux : Auditorium du musée national de préhistoire (7 et 8 juin) et auditorium + salle 2 du pôle d’interprétation de la préhistoire (7 juin), aux Eyzies, Dordogne

Actes du colloque : date limite de remise des articles le 30 octobre 2025, pour une parution en avril 2026.